Tubes granules et doses

Les médicaments homéopathiques sont conditionnés pour être adaptés à la prescription...

Les médicaments homéopathiques sont conditionnés pour être adaptés à la prescription médicale : les granules et les globules étant les formes pharmaceu­tiques les plus couramment utilisées en homéopathie, ils sont emballés dans des tubes dont la taille varie en fonction du volume à contenir.

On parle de tubes granules et doses. Incassables et neutres, les emballages des tubes granules et doses assurent une parfaite protection du médi­cament. Notre pharmacie en ligne vous permet de rechercher les tubes granules utilisés selon différentes pathologies ou en tapant directement leur nom via la barre de recherche (ex : apis mellifica, staphysagria, thuya occidentalis, hypericum perforatum, cuprum metallicum..).

Un granule se présente sous la forme d'une petite sphère de 3 millimètres de diamètre environ, composée d'un cristal de lactose ou de saccharose progressive­ment enrobé d'un mélange de saccharose et de lactose.

L'enrobage est réalisé dans des turbines reproduisant la technique de dragéification et spécialement conçues pour fonctionner en continu, car la fabri­cation d'un granule nécessite plus de 2 semaines.

Les granules neutres sont ensuite imprégnés du principe actif et deviennent médicament homéopathique. Les granules sont conditionnés dans des tubes contenant environ quatre-vingts gra­nules.

Enfin, sachez que l'homéopathie ne traite pas toutes les maladies. Habituellement qualifiée de « médecine douce », de « médecine parallèle », de « thérapeutique complé­mentaire » ou de « thérapeutique alter­native », l'homéopathie permet en réalité d'apporter souvent une réponse théra­peutique adaptée à chacun des 5 cas de figure suivants :

- maladies aiguës pour lesquelles il existe une alternative entre homéopathie et allopathie (diarrhées, coryzas, etc.) ;

- maladies récurrentes survenant sur un terrain particulier (allergies, herpès, etc.)

- affections chroniques vis-à-vis desquelles certains patients s'avèrent être de mau­vais répondeurs au traitement allopathique spécifique ;

- polypathologies (atteinte simultanée de plusieurs organes ou fonctions orga­niques) nécessitant, en thérapeutique allopathique, l'intervention de plusieurs spé­cialistes, d'où des prescriptions multiples (avec risque d'interactions médicamen­teuses) ;

- pathologies lourdes nécessitant des trai­tements allopathiques (chimiothérapie, etc.) engendrant régulièrement des effets indésirables qu'un traitement homéopa­thique peut diminuer.